Présentations
« Le monde est en situation de surarmement et la paix en situation de sous-financement. »
Le Secrétaire général Ban Ki-moon a toujours défendu de manière indéfectible la cause du désarmement. La phrase qui précède est tirée d'un discours qu'il a prononcé en 2009 à Mexico lors de la soixante-deuxième conférence annuelle du Département de l'information de l'Organisation des Nations Unies avec les ONG. C'est aussi le titre qu'il a donné à un récent éditorial publié dans différents journaux d'information du monde entier. Depuis le début de son mandat, le Secrétaire général a abordé des questions telles que le désarmement et la non-prolifération nucléaires, les transferts responsables d'armes classiques, les dépenses militaires, le rôle de la société civile dans le désarmement, le trafic d'armes légères, ou encore le rôle des femmes dans la recherche d'une paix et d'une sécurité durables.
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Stocks de munitions et programme SaferGuard des Nations Unies
L'accumulation de stocks de munitions classiques en surplus est un grave sujet de préoccupation pour la communauté internationale. La fréquence des explosions accidentelles qui surviennent dans des dépôts de munitions partout dans le monde témoigne de l'ampleur du problème. Ces explosions font à chaque fois de nombreuses victimes, en particulier lorsque les dépôts sont situés dans ou à proximité de zones urbaines.
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Lutte contre le commerce illicite des armes légères
De nos jours, les armes utilisées dans la plupart des conflits sont des armes légères et de petit calibre. Ce sont elles que l'on choisit pour les guerres civiles, pour les actes de terrorisme, pour le crime organisé, pour les guerres de gangs. Les armes légères illicites nuisent à la sécurité, contribuent aux déplacements de civils, facilitent les violations des droits de l'homme et entravent le développement socioéconomique.
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Ouverture à la signature du Traité sur le commerce des armes
OLe 3 juin 2013, le premier traité international réglementant le commerce mondial des armes classiques a été ouvert à la signature au siège de l’ONU. Le Traité sur le commerce des armes, qui a été approuvé par une majorité écrasante de l’Assemblée générale il y a deux mois, entrera en vigueur 90 jours après sa ratification par 50 nations.
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Conférence des Nations Unies sur le commerce des armes
La réparation des torts causés par le crime, les violences des bandes ou la piraterie – souvent alimentés par des fournitures irresponsables d'armes et de munitions – excède largement les profits financiers initialement tirés de la vente d'armements. À elles seules, les opérations de maintien de la paix des Nations Unies coûtent, au niveau mondial, 7 milliards de dollars par an; les violences armées commises dans le monde représentent quant à elles un fardeau qui se chiffre à 400 milliards de dollars. Sans une réglementation appropriée des transferts internationaux d'armes et sans des normes communes rigoureuses pour cadrer les décisions relatives aux exportations nationales, le tribut à payer en vies humaines et les coûts financiers demeureront gigantesques.
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Conseil consultatif pour les questions de désarmement
Le Conseil consultatif pour les questions de désarmement a été créé en 1978, après la première session spéciale de l’Assemblée générale sur le désarmement. Il a pour rôle de conseiller le Secrétaire général sur les questions ayant trait à la limitation des armes et au désarmement, de servir de Conseil d’administration de l’Institut de recherche des Nations Unies sur le désarmement (UNIDIR) et de conseiller le Secrétaire général sur la mise en œuvre du Programme d’information des Nations Unies sur le désarmement.
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Mécanisme de financement des Nations Unies pour la coopération en matière de réglementation des armements (UNSCAR)
Le 7 juin 2013, le Bureau des affaires de désarmement de l’ONU a lancé le Mécanisme de financement multipartite des Nations Unies pour la coopération en matière de réglementation des armements (UNSCAR). Le Mécanisme œuvrera en étroite collaboration avec les initiatives d’aide internationale complémentaires pour assurer une meilleure coordination, la cohérence et l’échange d’informations.
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Dépenses militaires
Les gouvernements du monde entier consacrent des ressources colossales à leurs forces armées. À l'échelon planétaire, les dépenses militaires ont pratiquement doublé au cours de la dernière décennie pour atteindre 1 600 milliards de dollars en 2010. Ce montant équivaut à plus de 10 fois les crédits d'aide au développement officiellement engagés (141 milliards de dollars) et est de très loin supérieur au budget ordinaire des Nations Unies (2,7 milliards de dollars). Moins de 4 % des dépenses militaires annuelles suffiraient pour réaliser les objectifs du Millénaire pour le développement et permettre ainsi à tous les peuples de sortir de la pauvreté.
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Convention sur les armes biologiques
La Convention sur les armes biologiques, premier traité multilatéral de désarmement à interdire la fabrication et l'utilisation d'une catégorie entière d'armes, a pris effet le 26 mars 1975. Au fil des ans, de plus en plus de pays y ont adhéré et les États parties sont aujourd'hui au nombre de 165. La Convention interdit efficacement la mise au point, la fabrication, l'acquisition, le transfert, le stockage et l'utilisation d'armes biologiques ou à toxines, et constitue un volet essentiel des efforts menés par la communauté internationale pour lutter contre la prolifération d'armes de destruction massive.
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Pleins feux sur la violence armée
Violence armée – c’est-à-dire l’utilisation intentionnelle, réelle, ou la menace d’utilisation d’armes pour infliger la mort ou des blessures – revêt de nombreuses formes, allant de la violence politique à la violence criminelle en passant par la violence interpersonnelle. D’après le rapport du Fardeau mondial de la violence armée, « Plus de 740 000 personnes meurent chaque année de violences liées à des conflits armés et à la petite ou grande criminalité. Une forte majorité d’entre elles sont tuées en dehors des zones de guerre. »
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Transparence en matière de commerce mondial des armes
Après la création de l’Organisation des Nations Unies, la guerre froide a empêché la transparence dans le domaine militaire. Mais la flambée des conflits à la fin des années 80 a fait renaître la crainte généralisée de l’accumulation des armements. En 1991, l’Assemblée générale a mis en place le Registre des armes classiques et invité les États Membres à communiquer chaque année des données sur leurs transferts d’armements ainsi que des informations de base sur les dotations militaires et les achats d’armes sur le marché intérieur.
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Assemblée générale des Nations Unies : Focus on Disarmament
L’Assemblée générale des Nations Unies a tenu sa première session en 1946 et a organisé des sessions annuelles chaque année depuis lors. L’Assemblée générale est l’un des cinq principaux organes des Nations Unies et le seul dans lequel tous les États Membres ont une représentation égale. La toute première résolution adoptée en 1946 par l’Assemblée générale a mis en évidence l’objectif consistant à éliminer des armements nationaux, les armes atomiques et toutes autres armes importantes permettant des destructions massives.
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Convention sur les armes à sous-munitions
La Convention sur les armes à sous-munitions interdit l'emploi, le stockage, la production et le transfert des armes à sous-munitions. Adoptée à Dublin le 30 mai 2008, elle réunit aujourd'hui 108 signataires. Elle est devenue un instrument international à caractère contraignant lors de son entrée en vigueur, le 1er août 2010, après que 30 États l'eurent ratifiée. En septembre 2011, 60 États l'avaient ratifiée et d'autres États parties y adhéreront lorsqu'ils soumettront leurs instruments de ratification auprès du Secrétaire général de l'ONU.
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Journée internationale contre les essais nucléaires
La Journée internationale contre les essais nucléaires vise à imprimer un élan à l'action menée par l'Organisation des Nations Unies, les États Membres, les organisations intergouvernementales et non gouvernementales, les établissements universitaires, les réseaux de jeunes et les médias pour informer et éduquer l'opinion au sujet des essais nucléaires et plaider en faveur de leur interdiction, ce qui représente une étape importante vers l'instauration d'un monde plus sûr.
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Hibakusha – Rescapés des bombes atomiques
Les « hibakuska » sont les rescapés des bombes atomiques qui sont tombées sur Hiroshima et Nagasaki. Ayant survécu aux effets immédiats des explosions, ils ont dû faire face aux séquelles laissées par le mal des rayons, la perte de membres de leur famille et de leurs amis et la discrimination.
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Cinquantième anniversaire de l'entrée en vigueur du Traité sur l'Antarctique
Le Traité sur l'Antarctique fait de ce continent une zone réservée aux activités de recherche scientifique, y interdisant toute activité militaire. C'est l'une des neuf zones exemptes d'armes nucléaires reconnues à l'échelle internationale, qui comprennent l'Amérique latine et les Caraïbes, le Pacifique-Sud, l'Asie du Sud-Est, l'Afrique, l'Asie centrale, la Mongolie, les fonds marins et l'espace.
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Collection permanente sur le désarmement à l'ONU
Diaporama présentant la collection permanente sur le désarmement, qui figure au programme de la visite guidée du Siège de l'Organisation des Nations Unies à New York.
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Disarmament Treaties Timeline
Le site Web intitulé « Disarmament Treaties Timeline » présente les principaux événements qui ont marqué le développement des accords internationaux sur le désarmement et la non-prolifération, ainsi qu'une brève narration décrivant l'évolution de ces questions depuis la création de l'ONU. Vous pouvez naviguer sur le site pour vous informer sur les grands jalons qui ont émaillé l'histoire du désarmement et de la non-prolifération de 1946 à nos jours.
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Peace and Security Through Disarmament
Cet exposé donne une vue d'ensemble du désarmement en mettant en évidence toute une série de questions se rapportant au désarmement multilatéral et d'initiatives menées par la communauté internationale. Il contient une liste chronologique des traités de réglementation des armes et une carte des zones exemptes d'armes nucléaires établies d'un commun accord. Il met en évidence le déséquilibre qui existe entre les dépenses mondiales consacrées au domaine militaire et les ressources allouées aux problèmes sociaux et environnementaux mondiaux.
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